Billets Shakti

Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 24/03/2022
La sonothérapie ou thérapie par les sons est un alliage de musique, de relaxation et de soins énergétiques.
C’est une méthode douce de relaxation profonde qui fait appel aux sons et aux vibrations sonores d’instruments, pour générer du bien-être, de l'harmonie et agir en délicatesse sur le corps et l'esprit. Cette thérapie est dite « holistique » car elle envisage l’individu dans sa globalité.
Elle est pratiquée depuis des millénaires au Tibet, au Népal et en Inde.
Les sons n’ont pas tous la même action, certains calment et apaisent et d’autres dynamisent.
La sonothérapie peut utiliser la voix, des instruments en métal (bols tibétains, gong et diapasons) des instruments en cristal (vaisseaux, pyramides, cloches) mais aussi d’autres outils comme les carillons, tambours, bâtons de pluie etc…
Lors d’une séance individuelle, certains de ces instruments peuvent entourer le consultant. Cet enveloppement par les sons est appelé bain sonore. C’est une immersion relaxante et insolite dans une harmonie de tonalités et de vibrations aux vertus différentes. Elle permet d’atteindre un état modifié de conscience, semblable à celui de la méditation.
Les résonnances des instruments activent dans notre cerveau les ondes cérébrales bénéfiques à la détente et à la sérénité, qui sont produites lors de la méditation. Cet influx nerveux circule de façon rythmique. Mesuré par un électroencéphalographe (EEG) il se traduit en ondes.
L’intensité de l’activité cérébrale se manifeste par des fréquences en hertz.
Utiliser en séance collective, le bain sonore peut-être comparé à un concert méditatif.

Les bienfaits du yoga pour séniors
Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 16/02/2022
Le Yoga à tout âge !
Nombre de pratiquants séniors de Yoga-Shakti sont étonnés des bienfaits que cette discipline procurent à leur corps et à leur esprit après seulement quelques mois !
Comme la pratique repose sur ses propres possibilités et l'acceptation de celles-ci, il n'y a aucune raison de renoncer au yoga.
N'oublions pas le yoga est avant tout une activité de bien-être. Chacun progresse à son rythme, en fonction de ses restrictions physiques et fait sa séance sur mesure, sans comparaison, sans compétition, dans l'esprit du yoga !
Le cours de yoga séniors est un yoga qui a été adapté, c'est pour certaines personnes, plus rassurant. Les mouvements sont plus lents et facilement accessibles, l'attention est portée sur la respiration.
En fonction de vos besoins ou de certaines pathologies, un accompagnement personnalisé de qualité par un professeur certifié peut être privilégié.
La pratique en groupe est parfaite si vous souhaitez rompre l’isolement et la solitude. Echanger, renouer un lien social en intégrant un cercle où l’ambiance générale est agréable et légère, participe à diminuer le risque de dépression.

Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 26/04/2021
Les yoga sūtras de Patañjali
Les yoga sūtras de Patañjali ont probablement été rédigés entre 200 av. J.-C. et 500 apr. J.-C. C’est un recueil de 195 phrases brèves, des aphorismes, destinées à être aisément mémorisées pour faciliter la transmission orale et chantée. Ce manuel de référence de yoga est rédigé en Sanskrit (langue ancienne de l’Inde, équivalente au latin pour la France) dont il existe bon nombre de traductions. C’est un texte fondateur philosophique du yoga, il est découpé en 4 chapitres (pada).
- Chapitre I. – SAMADHI PADA
Le chemin par le yoga vers l’unité de conscience profonde.
- Chapitre II. SADHANA PADA
La méthode, la mise en œuvre par des moyens pratiques, physiques et psychiques, pour créer ce processus de transformation et atteindre l’unité de conscience.
- Chapitre III. – VIBHUTI PADA
L’accession à de nouveaux niveaux de conscience par les effets de la délivrance, de la dualité et le renoncement nécessaire et absolu à ses pouvoirs, pour atteindre la libération ultime.
- Chapitre IV. – KAÏVALYA PADA
La suprême liberté ; l’isolement de la conscience dans sa forme originelle.

Comment choisir son cours de yoga ?
Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 14/04/2021
La recherche active... Par où commencer ?
Pour des non-initiés, la recherche d’un cours de yoga peut devenir une véritable aventure s’ils n’ont pas déjà une petite idée de ce qu’ils souhaitent lors de leur recherche. Pour vous aider à débroussailler un peu votre parcours, voici quelques conseils qui vous mèneront sur la voie de votre yoga.
Dégrossir et Choisir le yoga qui vous correspond le mieux.
La pratique qui vous conviendra ne sera pas forcément celle de votre meilleur(e) ami(e), de votre voisin(e) de votre collègue de travail, donc il est important de bien définir votre recherche selon vos besoins. Il existe une multitude de pratiques de yoga aux rythmes et aux intensités variables, par conséquent, il n’est pas évident de trouver son style si l’on n’a jamais pratiqué de yoga.
Avant de vous inscrire, prenez des renseignements, appelez l’enseignant(e) et posez toutes les questions nécessaires :
- Quel type de yoga enseigne-t-il ?
Yoga de l’énergie, Ashtanga, Vinyasa, Hatha, Kundalini, Lyengar, Power, Yin, Nidra, Viniyoga…
- Quels sont l’intensité et le rythme du cours ?
Tonique, statique, dynamique, physique, lent, doux, intense …
N’hésitez pas à tester le cours qui vous intéresse avant de vous engager pour l’année. Un cours d’essai gratuit ou avec une participation financière minime est souvent proposé avant une inscription. C’est l’occasion de découvrir ce à quoi vous aspirez, car il n’y a rien de plus frustrant et de démotivant que de participer à un cours à l’opposé de vos attentes.

Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 12/10/2020
Manquez-vous d’ancrage ?
Etes-vous régulièrement dans la lune ? Avez-vous souvent la tête dans les nuages, l’esprit ailleurs ? vous sentez-vous la plupart du temps à côté de vos pompes ou sur une autre planète ?
Avez-vous des pensées intrusives et involontaires qui finissent par tourner en boucle et saturer votre esprit ?
Lorsque nous sommes constamment dans nos pensées, distrait, déconnecté, nous ne sommes plus dans le monde réel, nous manquons d’ancrage. Dans notre mode de vie actuel, notre corps, notre mental et nos sens sont perturbés, ils sont soumis à des sollicitations et à des stimulations constantes qui accentue notre stress.

Vrikshasana, la posture de l'arbrisseau ou de l'arbre
Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 02/05/2020
VRIKSHÂSANA
Vriksha (l’arbre) āsana (posture)
Ancrage, force, lien
- Tonifie et renforce la musculature des chevilles, des pieds, genoux et des jambes. Elle améliore l’ouverture des hanches, renforce la sangle abdominale.
- Favorise le sens de l’équilibre. Accroît les facultés de concentration et calme l’esprit. Enracine dans la vie et dans l’instant présent.
Variantes :
- Plante de pied déposée au niveau de la malléole (intérieur de la cheville), orteils en appui au sol.
- Plante de pied qui épouse le bombé de la face interne du genou.
- Mains jointes, en salut devant la poitrine.
- Bras tendus, mains de chaque côté du corps, paumes de mains vers le ciel, pouces et index joints en jnana-mudra.
- Bras étirés, ou en demi-flexion au-dessus de la tête, mains en anjali mudra.
Debout, les pieds légèrement écartés et parallèles, je me relie à mon corps et à mon souffle. A l’aide du mouvement du regard intérieur et de ma respiration, je m’installe peu à peu dans ma verticalité.
Afin de m’ancrer à la terre, j’écarte largement les orteils en les relevant et les abaissent en les étalant sur le tapis. Pleinement présente à mes pieds, j’expire et m’enracine un peu plus au réel, à la matière. En déplaçant le poids de mon corps sur ma jambe droite, je recherche le point d’équilibre. Concentrée sur ma respiration et mes gestes, je suis dans l’instant présent. Je ne laisse pas mon mental se disperser car il n’y a pas d’équilibre sans concentration, ni de concentration sans équilibre, c’est un duo indissociable. Mon regard s’accroche sur un point devant moi.
Sur une expiration, je transferts entièrement mon poids sur la plante de mon pied droit, qui devient mon socle, mon ancrage. L’équilibre se fait, à présent, sur la totalité de ma jambe d’appui. La plante de mon pieds gauche est venue se caler le plus haut possible à l’intérieur de ma cuisse droite.
Je deviens, l’espace d’un moment, unijambiste. Afin de maintenir l’équilibre et de palier à l’instabilité qui en résulte, mon corps s’adapte en déplaçant son centre de gravité.
Il s’ajuste dans cette asymétrie lorsque mes mains jointes en anjali mudra s’élèvent au-dessus de ma tête.
Ma concentration va à la rencontre de l’équilibre. Mon corps se redresse sur sa verticalité.
Le regard intérieur est harmonisé aux rythmes de mes souffles d’inspire et d’expire, ma conscience se déplace au travers mon corps en alternance du ciel à la terre, de l’infini vers l’infini.
La posture est enfin accomplie lorsque j’acquiers l’équilibre dans la détente et la détente dans l’équilibre.
Ancrée par mes racines profondes, mes pieds, mais aussi reliée par mes branches (mes mains) qui s’élèvent vers l'univers.
Je suis l’arbre. Immobile et silencieux.
Intermédiaire entre le ciel et la terre, entre la matière et l'âme.
Comme l'arbre, suivant le cycle des saisons, j'évolue et m'adapte aux inconstances, sans résister.
L'arbre est le symbole de l'Union, le yoga aussi…Namasté

Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 20/04/2020
Qui n’a pas rêvé le jour où notre esprit est agité et tourne en boucle, d’avoir un dispositif permettant de mettre ce bavardage mental sur le bouton off ?
Pour beaucoup de personne dans cette situation, la méditation serait la solution miracle et permettrait au mental de se taire.
Mais comment obtenir ce désert mental ? Ce vide ? Ce calme si agréable ?
Avez-vous déjà tenté l’expérience de supprimer ou de bloquer chaque pensée qui se présente à vous ?
Bien évidemment, c’est une idée fausse de croire que la méditation consiste à faire le vide dans sa tête. Je comprends la frustration et la déception des personnes qui ont tenté un jour l’exploit de tenir plus d’une minute, la tête exempte de pensées.
Comme vous avez pu le remarquer, on ne peut pas arrêter de cogiter juste parce qu’on l’a décidé ou voulu, cela nous est tout simplement humainement impossible. Je ne dis pas non-plus, que la pensée ne s’arrête jamais, mais si elle le fait, c’est de son propre chef. Penser est une activité naturelle de l’esprit, et le cerveau, merveilleuse machine à idées, réflexions et analyses, ne s’arrête jamais de produire. Tenter de le faire taire serait une quête désespérée qui finirait en échec. C’est pourquoi rien ne sert de lutter contre ce bavardage mental. Le plus simple, c’est d’accepter sa présence.
Mais alors, vous allez me dire qu’il faut tout bonnement se résigner.
Pourtant, accepter ce n’est pas se résigner, c’est juste l’étape qui précède un choix d’action plus adapté. Quand des pensées traversent votre esprit lorsque vous méditez, laissez-les aller et venir si elles le souhaitent, contentez-vous de les observer sans juger, sans leur prêter d’attention, ne vous laissez pas entrainer et harponner par quoi que ce soit (émotion, idée, image…) et ne vous identifiez pas à elles. Soyez simplement un témoin. C’est comme se rendre au cinéma et regarder un film où l’on observe juste l’image sur l’écran.

Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 27/05/2019
Même si nous en avons conscience, quelle est la personne qui se dit en claquant la porte de son domicile pour se rendre à son boulot, que ce sera peut-être l’ultime fois ?
C’est vrai que cette pensée peut nous traverser furtivement l’esprit de temps en temps, mais habituellement nous vaquons à nos occupations sans craindre pour notre vie. Et heureusement !!!
Nos existences sont liées à celles des autres quoi qu’il arrive, qu’un jeune homme fasse le choix de conduire alors qu’il a peu dormi, peut avoir des conséquences dramatiques.
Ce matin, la vie le lui a enseigné.
Chance, destinée, karma, appelez-le comme vous le souhaitez, mais j’ai remercié nos anges gardiens de nous avoir tous protégés et évités le pire.
Lorsque je revois la scène, avec ce véhicule qui arrive en face de moi, à vive allure alors que je roule paisiblement, je me rends compte que tout aurait pu basculer en quelques secondes. Ma réactivité nous a sans doute empêché un choc frontal, mais quel effroi !
Quand je me suis arrêtée, tout mon corps s’est mis à trembler, je ne pouvais plus me tenir debout. J’étais sous le choc.
Trois conducteurs (dont moi) ont évité de justesse la voiture du jeune homme et deux autres véhicules ont été touchés. Il n’y a eu aucun blessé.
En quelques secondes la vie de plusieurs familles aurait pu basculer car un jeune homme s’est endormi au volant de sa voiture et en a perdu le contrôle.
En partageant cette expérience, je souhaitais vous rappeler notre interdépendance. Nos actions qui résultent de nos choix, ont des conséquences directes ou indirectes sur la vie des autres et nous portons cette responsabilité.
Cette responsabilité ne s’arrête pas qu’aux individus mais s’étend à tous les êtres vivants, à la nature, à notre planète et à l’univers.
Patricia.

Le Yoga ce n'est pas pour moi !
Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 30/08/2018
- Le yoga ce n'est pas pour moi !
- Il faut être souple pour faire du yoga !
- Je suis trop grosse !
- Je suis gêné par le regard des autres !
- Je suis trop vieux !
- Je vais être ridicule !
J'ai tellement entendu ce genre de phrases !
Et pourtant...
- Le yoga est universel et chacun peut trouver le yoga qui lui convient.
- On vient dans un cours de yoga avec le corps et les possibilités de celui-ci !
- Le yoga est un chemin personnel, un moment pour soi. Il n'y a aucune compétition. On ne se mesure avec personne.
- Le poids n'est pas un obstacle, le yoga s'adapte au corps de chacun !
- La plus vieille prof de yoga à plus de cent ans, on peut commencer à n'importe quel âge.
L'important, c'est d'écouter son corps et de respecter ses limites afin de ne pas aller au-delà.
Je le répète, ce n'est pas le but le plus important, mais le chemin parcouru !
Alors, je vous attends avec plaisir le 17 septembre.
À très bientôt...Belle journée à vous !
Patricia, votre enseignante de yoga.

Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 05/06/2018
A la une de certaines revues de yoga, on retrouve régulièrement les mêmes clichés, une femme mince, souple et exécutant une posture avancée de yoga.
Imaginez, le nombre de clichés véhiculés par un seul cliché ! (je sais, le jeu de mot est pas mal !)
Bon nombre de personnes ne pousseront jamais les portes d’un studio de Yoga à cause de cela. Comme elles ne s'identifient pas à l’image que ces magazines renvoient, elles se mettent volontairement en retrait et ne s’autorisent pas à tenter l’expérience. Elles s’imaginent surement que tous les individus qui pratiquent le Yoga ressemblent aux photos des magazines.
Or, il suffit d’observer les personnes qui gravitent autour de nous et qui pratiquent le yoga pour découvrir que dans la majorité des cas, ces gens ne concordent pas vraiment aux photos qui font la une des magazines. Ils ne sont pas super souples, pas toujours sveltes et n'ont, pour la plupart, aucun équilibre sur les mains !
Le fait de se cacher derrière des clichés offre aussi des prétextes à nos peurs.
La peur de ne pas être à la hauteur, de se comparer et d’affronter le regard de l’autre est un frein extrêmement puissant à toutes motivations.
Ma pratique du yoga m’a apprise à ne pas m’arrêter sur les apparences mais à aller au-delà.
Ainsi, quand je pratique une posture, ce qui compte, ce n’est pas la finalité de la posture, mais le chemin par lequel j’y suis arrivée.
Namasté.
Votre enseignante de Yoga.
Patricia.

Cette petite voix dans ma tête...
Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 28/02/2018
J’ai mis plusieurs années pour me décider, à sauter le pas et m’inscrire à l’école de formation de Yoga, afin de devenir enseignante. D’ailleurs, au début, je ne faisais pas la formation pour enseigner mais j’étais dans une quête de connaissances.
Pourquoi ai-je tant hésité ? Pour une seule et même raison. La petite voix dans ma tête….
Celle qui vous dit : « Regarde ces filles, sur les magazines de yoga, elles sont jeunes, minces, souples et toi ?… »
Ou bien : « Tu n’es pas assez calée sur le sujet. Il faut une multitude de connaissances, tu n’as pas assez d’expérience et tu vas te rétamer… »
Ou encore : «Tu es partie pour quatre années d’études, tu n’as plus l’âge d’étudier, reviens sur terre, tu ne vas pas y arriver… »
Et patati et patata...
Ce bavardage mental conditionné par la société, la culture, les expériences passées, arrivait à me faire douter. J’étais devenue, sans m’en rendre compte, la victime de cette petite voix qui trouvait en moi, un terrain fertile, qui m’empêchait de me réaliser.
Qui n’a pas eu cette petite voix ? C’est drôle d’observer comment notre esprit fonctionne.
Qu’est-ce qu’on peut être négatif avec soi ! On se juge, se rabaisse, se maltraite, se qualifie d’adjectifs humiliants.
Il faut croire qu’il nous manque toujours quelque chose pour exister, pour être ; tu n’es pas assez comme ci ou comme ça….il te manque ceci ou cela…Quelle dictature !
Alors, vous vous demandez, comment j’ai fini par m’inscrire ?
Grace à la méditation, j’ai pris conscience de cette petite voix, je l’ai observé et je me suis rendue compte que ce n’était qu’une pensée émise par mon cerveau. Qu’elle ne me définissait pas. Qu’elle n’était que le reflet de mes peurs. J’ai décidé que cette petite voix ne me contrôlerait plus.
Et un matin, ma décision était prise…
Namasté.
Patricia.
Copyright © 2018. Tous droits réservés.

Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 13/02/2018
Que signifie ''Namasté" ?
A la fin de chaque cours de Yoga, l'enseignant prononce le mot "Namasté" ou effectue un geste de salutation (mains en prière devant la poitrine) envers ses élèves. Tous, répondent par la même action, mais, sans en connaître le sens exact.
Pour beaucoup, ce rituel signifie, tout simplement, "Merci" en Sanskrit. Or, sa définition est hautement symbolique, c'est la reconnaissance de l’autre comme étant soi.
Définition de Namasté : Mon âme salue ton âme. En toi, je salue cet espace où réside l’univers entier. En toi, je salue la lumière, l’amour, la beauté, la paix parce que ces choses se trouvent aussi en moi. Parce que nous partageons ces attributs, nous sommes reliés, nous sommes semblables, nous ne sommes qu’un.
Namasté
Copyright © 2018. Tous droits réservés

Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 15/01/2018
Quand je réfléchis, je m'aperçois que j'ai eu et que j'ai encore de nombreux doutes. Je doute sur certains de mes choix, car choisir, c'est renoncer. Et le renoncement, c'est abandonner une option qui aurait pu être la bonne. Compliqué, non ?
Alors comment ne pas douter ? Comment être sûr, que la décision qui va être prise sera la plus adéquate aux circonstances ?
Pour ne pas nous planter et faire le bon choix, nous sommes capables de réfléchir aux possibilités qui s'offrent à nous et à les étudier durant des jours. Un peu, comme un casse-tête chinois.
Même si ce travail mental est épuisant, il faut admettre qu'il nous rassure et nous donne l’impression de garder le contrôle de notre vie !
Mais au final, a-t-on vraiment choisi ? Notre chemin n’est-il pas déjà écrit ?
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L'important c'est d'être présent à l'autre
Par
Patricia LAFORSE RYO
Le 25/12/2017
Bonjour ! Comment vas-tu ?
Combien de fois, entendons-nous cette question, par jour ?
Et combien de fois la dit-on ?
Pourquoi, posons-nous cette question si nous n'apportons pas d'attention à la réponse ? Pour être poli ?
Donc, demander à l'autre comment il va, serait juste une question de bienséance et non pas une attention que l'on porte à l'autre ! Sa réponse n'aurait-elle pas d'importance ?
Je suis toujours étonnée du manque de considération que l'on porte à cette petite phrase qui paraît si anodine et pourtant si révélatrice de notre ''Moi'.
L'important n'est-il pas d'être présent à l'autre, ici et maintenant ?
Namasté
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